a maroc automne 2017 - inoue akihiko
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ARTATA
Les PremiĂšres Rencontres Internationales Art-Action et Paysages de la province de Tata
Maroc Automne 2017
Les PremiĂšres Rencontres Internationales Art-Action et Paysages de la province de Tata au Maroc
Les Rencontres Internationales Art-Action et Paysages de la province de Tata ont lâambition dâĂȘtre le premier grand Ă©vĂ©nement de portĂ©e internationale consacrĂ© Ă lâArt dans le Paysage se dĂ©roulant au Maroc.Câest un rendez-vous qui se veut rĂ©gulier, tous les deux ans. Il donne Ă des artistes renommĂ©s la possibilitĂ© dâexercer pendant quelques jours leur talent et leur savoir faire dans la province de Tata, au sud du Maroc.
SituĂ©e dans une zone oĂč prĂ©domine la sĂ©cheresse, la province de Tata recĂšle des paysages remarquables ainsi que des Ă©cosystĂšmes Ă©tonnants par leur diversitĂ© et leur spĂ©cificitĂ©. Les oeuvres viendront souligner, rĂ©vĂ©ler les Ă©lĂ©ments du paysage, elles donneront à «voir autrement» ces plaines et montagnes arides. Elles ont aussi pour vocation dâĂȘtre le reflet des enjeux environnementaux et sociaux que connaĂźt la province ainsi que lâinterprĂ©tation des relations entre les populations locales et la nature.
Ces Rencontres Internationales Art-Action et Paysages se situent dans le cadre du Projet ARTATA qui a pour objectif de faire progressivement de la province de Tata toute entiĂšre un territoire de lâArt dans le Paysage et une rĂ©fĂ©rence internationale en la matiĂšre.
Le projet ARTATA se dĂ©veloppera en synergie avec les populations locales. Il sâinscrit totalement dans une approche de dĂ©veloppement durable. Au-delĂ de donner Ă voir des Ćuvres dâart dans le paysage, ses objectifs sont de faire connaĂźtre les cultures et traditions des populations de la province, dâĂ©tablir des collaborations avec les associations locales pour contribuer Ă la prĂ©servation du patrimoine matĂ©riel et immatĂ©riel et, bien entendu, de participer Ă la sauvegarde des ressources naturelles, en particulier des Ă©cosystĂšmes fragiles que constituent les oasis. Il sâagit aussi dâassurer des retombĂ©es Ă©conomiques Ă©quitablement rĂ©parties dans la population - particuliĂšrement dĂ©munie - grĂące Ă la venue de nouveaux visiteurs sensibles Ă lâart, aux paysages et Ă lâenvironnement.
TATA
TAROUDANT
AGADIR IDA OU TANANE
CHTOUKA AĂT BAHA
INEZGANE AĂT MELLOUL
TIZNIT
TATA
Aux portes du désertun espace de transition aux pieds de
lâAnti-AtlasDes montagnes qui racontent
lâhistoire de la terre,Des plaines rocailleuses et quelques
acaciasTerre de contes et de légendes
Terre de métissage
MAROC
REGION SOUSS-MASSA
PROVINCE DE TATA
OĂč se situe la province de Tata ?
Le territoire Ă la rencontre des Ćuvres dâartistes
Le territoire de la province de Tata se caractĂ©rise par des paysages grandioses marquĂ©s notamment par lâaffleurement des couches gĂ©ologiques et une grande diversitĂ© des formes, des espaces et des Ă©cosystĂšmes dans un milieu essentiellement aride et dĂ©sertique.
Chaque lieu est une Ćuvre dâart potentielle en dormance, en attente de rĂ©vĂ©lation. Les Ćuvres dâartistes implantĂ©es dans de tels lieux agissent par soulignement, amplification ou encore contrastes et participent Ă cette rĂ©vĂ©lation.
Outre lâhistoire gĂ©ologique du territoire, câest aussi le climat qui dĂ©termine ces paysages. En effet, la province est situĂ©e dans la zone prĂ©-saharienne du Maroc, rĂ©gion aride par excellence oĂč la sĂ©cheresse a de tout temps dominĂ© les cycles naturels, sâĂ©tendant parfois sur plusieurs annĂ©es. En annĂ©e pluvieuse, lâapport des prĂ©cipitations peut atteindre 300 mm en certains endroits. Quant aux tempĂ©ratures, elles montent facilement au-delĂ de 50°C lâĂ©tĂ©, et descendent en dessous de 0°C, en hiver, dans les hauteurs mais parfois aussi dans les plaines.
Dans ces conditions dĂ©jĂ relativement extrĂȘmes, le rĂ©chauffement climatique est une perspective trĂšs inquiĂ©tante pour la contrĂ©e. Divers programmes sont en cours pour lutter contre la dĂ©sertification, le dĂ©clin des oasis et la baisse de lâeau dans la nappe phrĂ©atique.
Lâapproche du projet ARTATA sâinscrit dans le droit fil du Land-Art et plus prĂ©cisĂ©ment dans celui du mouvement qui lui est associĂ© lâArt Environnemental oĂč lâartiste sâĂ©loigne de prĂ©occupations uniquement formelles et dĂ©veloppe des relations plus profondes avec les systĂšmes, processus et phĂ©nomĂšnes Ă lâorigine du contexte physique et social.
Un Ă©change mutuel entre lâartiste et les autres
Certes, lâĆuvre dâart prend place dans un environnement physique particulier, profondĂ©ment stimulant. Mais elle est aussi Ă©laborĂ©e dans une communautĂ© humaine immergĂ©e dans ces paysages, une collectivitĂ© organisĂ©e pour supporter le climat et des conditions de vie difficile, un ensemble dâindividus, habitants des oasis ou nomades qui pourront accompagner le projet, en particulier au travers de leurs associations.
Au demeurant, la province est peu peuplĂ©e : 119 298 habitants pour 26 000 km2 soit 4,5 habitant au km2. Cela nâa pas toujours Ă©tĂ© le cas. La rĂ©gion occupait au Moyen-Age une position stratĂ©gique et bĂ©nĂ©ficiait dâun rĂŽle trĂšs important dans le rĂ©seau du commerce caravanier qui reliait le Maroc aux pays de lâAfrique sub-saharienne. Plusieurs sites sont lĂ pour en tĂ©moigner. Comme tĂ©moigne aussi de lâHistoire, une population hĂ©tĂ©rogĂšne qui comprend des Amazights, des Arabes, des descendants des esclaves ramenĂ©s dâAfrique sub-saharienne. La musique et les danses reflĂštent ce mĂ©lange : musiques ahwach, gnaoua, hassanie...
Se nourrir mutuellement de lâautre ! Faire appel Ă la mĂ©moire historique collective incarnĂ©e par les histoires racontĂ©es, les savoir-faire, les traditions picturales, vestimentaires, festives, musicales, artisanales ⊠pour faire Ă©merger des Ćuvres ouvertes Ă lâinterprĂ©tation, lisibles, en lien avec la symbolique des lieux et les reprĂ©sentations sociales locales. Telle est lâambition du projet ARTATA.
Un partage mutuel - lors dâateliers et de dĂ©bats - des expĂ©riences liant les personnes et la communautĂ© Ă la vie, aux objets de lâenvironnement, au territoire, aux paysages, Ă la crĂ©ativitĂ© ainsi quâaux formes et aux couleurs est donc une nĂ©cessitĂ© de la dĂ©marche artistique prĂ©conisĂ©e.
Les premiĂšres Rencontres Internationales Art-Action et PaysagesAutomne 2017
OĂč ?
Les premiĂšres Rencontres Internationales Art-Action et Paysagesse dĂ©rouleront au niveau de la commune urbaine de Tata, chef lieu de la province et ville administrative, situĂ©e Ă 285 km au sud-est dâAgadir. Tata compte aujourdâhui 18 000 habitants alors quâelle sâest construite ces 50 derniĂšres annĂ©e Ă partir dâun tout petit village. Elle borde la berge orientale dâun oued et Ă©tend vers lâEst sa trame rĂ©guliĂšre en damier. Sur lâautre rive, la palmeraie trĂšs ancienne recĂšle ses ombrages, ses sĂ©guias, ses vieux murs, ses chemins serpentants et ses cultures Ă©tagĂ©es. Les villages aux alentours conservent leur architecture vernaculaire souvent en ruine.
Qui ?
LâidĂ©e de ce projet a Ă©tĂ© lancĂ©e par Catherine Tastemain, biologiste de formation, mĂ©diatrice scientifique, avec une expĂ©rience non nĂ©gligeable en agences de paysagiste. ImpressionnĂ©e par les paysages de cette province oĂč elle a menĂ© plusieurs missions pour Ă©tudier les potentialitĂ©s de valorisation des plantes mĂ©dicinales locales, elle a Ă©tĂ© poussĂ©e Ă mener Ă bien ce projet par lâarchitecte-paysagiste italien Roberto Zancan. Sur le terrain, elle a reçu le soutien rapide et inconditionnel de Moulay Mehdi Lahbibi, qui fut maire de la commune pendant 40 ans, ancien dĂ©putĂ© puis sĂ©nateur. Dâautres personnalitĂ©s de Tata sont sĂ©duites par le projet et se sont engagĂ©es au cĂŽtĂ© de lâĂ©quipe organisatrice. Celle-ci a aussi Ă©tĂ© rejointe par Fouad Bellamine, artiste peintre marocain, dont le travail a fait lâobjet de nombreuses publications et expositions personnelles Ă travers le monde. Il est prĂ©sent dans de nombreuses collections institutionnelles et privĂ©es, tels le fonds du MinistĂšre de la culture au Maroc ou lâInstitut de Monde Arabe et le Fonds National dâArt Contemporain Ă Paris. En tant que «senior» de la profession, Fouad se sent pour vocation aujourdâhui dâessayer de jouer un rĂŽle de facilitateur auprĂšs des jeunes artistes.
Nord
Commune Urbaine de TATA
Quand ?
A lâautomne 2016 (29 Octobre au 6 Novembre 2016) : Voyage de repĂ©rage des artistesVisites et analyse des sites potentiels ; prĂ©sentation des artistes et de leur travail Ă la population ; prĂ©sentation historique, culturelle et socio-Ă©conomique de la ville et de la province ; choix des sites les plus stimulants pour les artistes et dĂ©termination des « parcours de visite » ; choix par tous de la thĂ©matique envisagĂ©e ;Travail individuel sur les esquisses de projet ; visite aux artisans locaux.
A lâautomne 2017 : Les Rencontres elles-mĂȘmes : - Dix Ă quinze jours de fabrication des Ćuvres par les artistes (avec des artisans, si besoin est)- Work in Progress avec des lycĂ©ens- Puis 3 jours de Rencontres Internationales avec le public ! Inauguration, visites des sites, commentaires des Ćuvres, parade des Arts-de-la-rue, confĂ©rences, concerts, ateliers pour les jeunes...
Comment ?
Les habitants de la commune et les Ă©lus de la ville sont associĂ©s au projet dans ces diffĂ©rentes phases, y compris la prĂ©paration et lâorganisation, Ă chacun selon ses capacitĂ©s et dĂ©sirs : accompagnement pour la rĂ©alisation par les artisans ; sensibilisation Ă la culture, lâhistoire, les traditions, les Ă©volutions sociales par les associations culturelles ; hĂ©bergement et prĂ©paration des bivouacs par dâautres associations ; ateliers Work in Progress pour les jeunes du lycĂ©e ...
Pour cette premiĂšre Ă©dition des Rencontres nous avons choisi et invitĂ© un groupe dâartistes venant de diffĂ©rents pays Ă qui nous demandons de rĂ©aliser des installations, Ă©phĂ©mĂšres ou pĂ©rennes, dans un esprit collectif, sur 2 ou 3 sites dans les environs immĂ©diats de Tata.Ils doivent apprĂ©hender le terrain - physique et humain - en seulement une semaine de repĂ©rage (Nov. 2016) pour imaginer un acte Ă la fois artistique, Ă©cologique, collectif dans sa globalitĂ© et Ă forte teneur participative avec la population. Ils viendront, une dizaine de jours avant les Rencontres, construire leurs Ćuvres avec lâaide si nĂ©cessaire dâartisans locaux.
ARTISTESINVITES
2017
Amina Agueznay (Maroc)http://aminaagueznay.blogspot.com/
3ankabouth (Toile dâaraignĂ©e) Exposition individuelle - 2016 Espace SociĂ©tĂ© GĂ©nĂ©rale Casablanca
AprĂšs une formation en architecture et design effectuĂ©e aux Ătats-Unis et quelques annĂ©es de pratique dans ce domaine, Amina fait un retour au Maroc en 1997 et se lance dans la conception et la fabrication de bijoux. De fil en aiguille, l'Ă©chelle et l'essence de ses Ćuvres se modifient. Pour plus de grandeur. Aujourd'hui, Amina conçoit des Ćuvres monumentales, notamment en laine, comme en tĂ©moigne 3ankabouth, sa derniĂšre exposition Ă Casablanca.
Mara FortunatoviÄ (France) http://www.marafortuna.com/
Camera chiara Paris (France)
Exposition «Possible dâun monde fragmenté», Palais des Beaux-Arts, Paris 2014
MâBarek Bouhchichi (Maroc)
ForĂȘts III avec Philippe AllardMarrakech (Maroc)
Biennale de Marrakech 2014
FidĂšle Ă un investissement in situ, Mara FortunatoviÄ manipule lâespace quâelle sâapproprie en lâhabitant de « fragments » qui sont autant de ponctuations, de cĂ©sures, de coupures, de rĂ©vĂ©lations visuelles et architecturales. Elle invente ainsi une infinitĂ© de possibles et de modulations des lieux investis. Mara FortunatoviÄ a participĂ© Ă plusieurs expositions collectives, notamment Ă Paris et Ă Berlin. Elle a exposĂ© individuellement dans des galeries Ă Marseille, Dubrovnic et Zagreb. Elle a rĂ©cemment intĂ©grĂ© la rĂ©sidence du Pavillon des Indes Ă Courbevoie et a Ă©tĂ© nominĂ©e au Prix de la Fondation Salomon pour Iscp Ă New York.
NĂ© Ă Akka, non loin de la commune de Tata, MâBarek est un enfant du pays... quâil a quittĂ© trĂšs jeune. AprĂšs avoir longtemps vĂ©cut Ă Tiznit, petite ville cĂŽtiĂšre de la rĂ©gion, il est depuis peu installĂ© Ă Tahanaout oĂč il enseigne les arts plastiques. Du cube, forme matrice, forme construite qui hiĂ©rarchise lâespace, il faut sâextraire, dit-il. Briser les limites pour regarder et toucher les multiples facettes du territoire. Vivre en dehors du cube et vivre lâespace. Cette focalisation sur les espaces - de pensĂ©e, dâĂ©motions, psychologiques - revient comme un laĂŻtmotif dans tout son travail, quâil sâagisse de peinture, de dessin, dâinstallation ou de vidĂ©o-art.
Roberto Zancan (Italie)
Landworks Sardinia 2015Italie
Algentira Schermata
Akihiko Inoué ( Japon)http://www.akihiko-inoue.com/
Maison-Arche 2011 - Voice Galery - Kyoto
Aqua-Café2010 - Exhibition Trouble in Paradise/Medi(t)ation of Survival - The National Museum of Modern Art - Kyoto
Ilka Meyer (Allemagne)http://www.ilkameyer.de
GegenĂŒber I2011 Euro Land Art FestivalBeauce, France
Pour Akihiko, lâart fonctionne comme une «brĂšche transitoire» percĂ©e dans le systĂšme social, brĂšche Ă travers laquelle lâon pourrait « voir autrement » le monde et approcher la relation primordiale liant la nature et lâhomme sur cette planĂšte. InspirĂ© par son expĂ©rience au Maroc et au pays Dogon (Mali), il a commencĂ© Ă utiliser la terre et lâeau, matiĂšres les plus anciennes, matiĂšres universelles, mais aussi le bois et les dĂ©chets variĂ©s de la civilisation industrielle, pour Ă©laborer ses dessins, installations et constructions architecturales «in situ». Ses Ćuvres mĂ©taphoriques ont Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©es au Japon, en CorĂ©e et au Burkina-Faso.
Urbaniste, architecte, paysagiste, enseignant, rédacteur pour différentes revues d'architecture, Roberto aime par dessus tout intervenir dans le grand paysage. Aussi, aucune de ses multiples activités, en Italie, au Canada, en France, en Allemagne, ne lui fera manquer son rendez-vous annuel en Sardaigne avec le groupe Landworks Sardinia. Là , en travail collectif avec des étudiants, on imagine, conçoit puis réalise à la force des poignées des aménagements de sites. Pendant 2 semaines. En d'autres lieux, Roberto organise des actions environnementales et collectives beaucoup plus rapides.
Ilka Meyer est nĂ©e en 1972 Ă Bremen en Allemagne. Elle a suivi des Ă©tudes dâart dans les acadĂ©mies de Mainz et de Leipzig, puis a vĂ©cu et travaillĂ© Ă Berlin pendant dix ans. Depuis 2012, elle enseigne Ă lâuniversitĂ© de Vechta, en Basse Saxe, oĂč elle vit.Le travail dâIlka repose essentiellement sur la fabrication dâinstallations spĂ©cifiques du site de mise en place. Elles sont constituĂ©es de juxtapositions, par exemple celle du processus de croissance des plantes dans le contexte dâune architecture spatiale rationnellement organisĂ©e. «Mes travaux comportent souvent une rĂ©flexion sur les structures et donnent lieu Ă la rĂ©alisation de monuments Ă©phĂ©mĂšres ou de micro manifestations dâune autre rĂ©alité», explique-t-elle.
Avec le soutien de :
MinistĂšre marocain de la CultureMinistĂšre marocain du TourismeRĂ©gion Souss-MassaProvince de Tata
Dolgor Ser-Od, artiste, co-fondatrice du Land Art Mongolia 360° (LAM 360°) (Mongolie)
Comité de pilotage :
EtJean-Roch Bouiller, conservateur en art contemporain, MuCEM Oscar DuboĂż, journaliste spĂ©cialisĂ© en art contemporainNadine Gomez-Passamar, conservatrice du MusĂ©e Gassendi et directrice artistique du CAIRN Centre dâArt, Digne-les-Bains (France)Sandra Hofmeister, journaliste spĂ©cialisĂ©e en art contemporain (Allemagne)Luigi Latini, architecte-paysagiste, enseignant-chercheur Ă lâuniversitĂ© IUAV de Venise, prĂ©sident du comitĂ© scientifique de la Fondation Benetton (Italie)Mohamed Rachdi, artiste, commissaire dâexposition Ă la Fondation SociĂ©tĂ© GĂ©nĂ©rale (Maroc)Alya Sebti, historienne de lâart, commissaire dâexposition, directrice de la galerie Ifa Ă Berlin (Maroc/Allemagne)Nawal Slaoui, commissaire dâexposition, CulturesInterface, prĂ©sidente de lâassociation Madar (Maroc)
Invité pour les PremiÚres Rencontres Internationnales Art-Action et Paysages de la Province de Tata :Land Art Mongolia (LAM 360°) www.landartmongolia.com
Fouad Bellamine, artiste peintre marocainVictoire Dubruel, consultante en politique culturelleElisabeth Lebovici, historienne de lâart, journaliste et critique dâart, enseignante Ă lâEHESSMoulay Mehdi Lahbibi, prĂ©sident pendant 40 ans de la ville de Tata, ancien dĂ©putĂ© et sĂ©nateurDominique MarchĂšs, photographe, commissaire dâexpositions, directeur de plusieurs centres dâart depuis le dĂ©but des annĂ©es 70, notamment Chateauroux, VassiviĂšre et ChamarandeCatherine Tastemain, mĂ©diatrice scientifique, initiatrice et organisatrice de ARTATA
ComitĂ© technique :Chahineze Rahal, conseil et expertise en finance dâentreprise et en management de projet en France et Ă lâInternationalCatherine Tastemain, mĂ©diatrice scientifiqueBasma Zaghloul, expertise en stratĂ©gie des organisations et gouvernance. Directrice et Administratrice de plusieurs structures et associations en France et au Maroc.
InvitĂ© dâhonneur :
Conseil provincial de TataCommune urbaine de TataRĂ©seau associatif de TataAssociation Tayissi pour la conservation du Patrimoine
M'Barek Aït Addi, chercheur à l'IRCAMEl Mahfoud Asmahri, chercheur à L'IRCAMRabha Elfoukhari, ingénieur agronome, enseignanteCatherine Tastemain, médiatrice scientifique
ComitĂ© dâorganisation :